jeudi 21 février 2008

FERNANDO DE NORONHA : du 8 au 14 février



1ers arrivés sur cet archipel extraordinaire : l’ile bénie des dieux ….
C’est un vrai sanctuaire pour la faune et la flore car classé comme réserve intégrale. Cet archipel est aussi classé un des 5 meilleurs spots de plongée au monde.

Un sanctuaire marin hyper protégé qui nous permettra de vivre des moments inoubliables pour Philippe lors de ses plongées et pour Emma et moi dans nos explorations masque/palmes/tuba. Nager avec ces émouvantes tortues, ces majestueuses raies mantas au milieu de milliers de poissons exotiques de toutes les couleurs et puis au mouillage tous les matins au lever du jour des centaines de dauphins nous faisant profiter d’un show de compétitions de sauts périlleux (Mowgli était trop loin pour que je puisse filmer quelque chose de visible) : c’était magique. Philippe est très heureux d’avoir fait sa 1ère rencontre avec des requins de 2 mètres environ, Emma et moi ce jour là c’était château de sable nous aussi nous sommes très heureuses mais d’être restées sur la plage !


Des plages magnifiques aussi bien protégées de la houle pour les familles que d’autres dédiées au surf, d’ailleurs pendant notre escale des champions de surf étaient en pleine préparation et entrainement car le 14 février débutait une des étapes du championnat du monde de surf. Mesdames si vous aviez vu tous ces beaux athlètes bien bronzés, quant à moi j’avais interdiction d’y aller sans être accompagnée !
Plage des surfeurs
Emma regardant les surfeurs
Bon on a eu aussi quelques désagréments avec le désalinisateur qui tombe en panne. Le désal c’est ce formidable appareil qui permet de transformer l’eau de mer en eau douce et qui donc vous permet de moins gérer votre consommation d’eau, à nous les douches après toutes ses heures passées dans la mer. Mais là non terminé, il faut tenir sur nos réserves jusqu’ à notre retour sur le continent. Parfois le bateau c’est un peu moins marrant. Alors nous profitons un maximum des attraits de Fernando car nous savons qu’un gros travail nous attend sur Mowgli à notre arrivée dès notre prochaine escale.