Comme je vous le disais précédemment nous avons accompli la tâche approvisionnement, nous n’étions d’ailleurs pas les seuls. Au détour d’un rayon nous nous retrouvons nez à nez avec de vieilles connaissances :
- Marie-Paule et Pierre du catamaran Confianza, qui étaient également compagnons du rallye des Iles du Soleil.
- Nathalie du catamaran Genesis, que nous avions rencontré en février dernier à Joao Pessoa (rappelez-vous cette si belle photo de leurs 4 enfants et d’Emma). Elle était accompagnée de sa belle sœur Mylène, à bord de Belon, que nous aurons certainement l’occasion de recroiser au cours de notre voyage.
Nous avons proposé aux 2 filles de les rapatrier elles et leurs courses du supermarché à la marina. Mais 5 personnes + l’approvisionnement de 3 bateaux cela aurait plutôt justifié 3 voyages et regardez plutôt comment nous avons réussi à le faire en 1 seul. « Non, non, Monsieur le Gendarme, rien à déclarer. »
- Marie-Paule et Pierre du catamaran Confianza, qui étaient également compagnons du rallye des Iles du Soleil.
- Nathalie du catamaran Genesis, que nous avions rencontré en février dernier à Joao Pessoa (rappelez-vous cette si belle photo de leurs 4 enfants et d’Emma). Elle était accompagnée de sa belle sœur Mylène, à bord de Belon, que nous aurons certainement l’occasion de recroiser au cours de notre voyage.
Nous avons proposé aux 2 filles de les rapatrier elles et leurs courses du supermarché à la marina. Mais 5 personnes + l’approvisionnement de 3 bateaux cela aurait plutôt justifié 3 voyages et regardez plutôt comment nous avons réussi à le faire en 1 seul. « Non, non, Monsieur le Gendarme, rien à déclarer. »
Et puis le 14 novembre : le grand jour. Mowgli dans son élan s’est jeté à l’eau un peu plus vite que prévu, Mowgli dévalant la pente, Emma et moi accrochées au bastingage et Philippe prenant le train en marche parce qu’il était resté un peu trop longtemps à dire au revoir à la charmante gardienne (message personnel pour Vincent : elle était encore plus charmante que la serveuse de Grenade !). Je me suis dit que c’était bon quand les gars du chantier ont éclaté de rire.